BCL J02 : la JDA s’incline sur le parquet de Malaga.

Après la victoire convaincante des dijonnais sur le parquet du PAOK il y a 15 jours, place au deuxième défi (et pas des moindres) avec un second déplacement, cette fois chez l’ogre du Groupe G : l’Unicaja Malaga ! 

 

1ère mi-temps : à domicile, Malaga prend le large (43-25). 

Dans un début de match à l’avantage des locaux, portés par un Tyson Carter efficace, les dijonnais vont devoir attendre la 4e minute pour débloquer leur compteur grâce à un gros tir de Markis McDuffie (12-3 / 4′), de quoi réveiller toute son équipe. Pour autant, l’Unicaja domine toujours autant les débats devant ses supporters, avec un jeu collectif bien huilé et un Kendrick Perry percutant à la mène (18-8 / 7′). Dans une fin de Q1 toujours en faveur de Malaga, les dijonnais sont menés 25-11 après 10 minutes. Pour démarrer le Q2, l’Unicaja enfonce le clou en passant un 11-0 aux dijonnais (36-11 / 14′). C’est le capitaine David HOLSTON qui va alors assumer son rôle pour relancer la machine côté JDA. Mais, face à un adversaire de ce calibre, tout est difficile et les hommes de Nenad Markovic vont l’apprendre à leurs dépends. A la pause, les bourguignons accusent toujours un retard de 18pts.

 

2ème mi-temps : la JDA se révolte mais Malaga maintient le cap (88-68). 

De retour des vestiaires, les espagnols redémarrent fort, toujours avec un Carter très offensif. Pour lui répondre, c’est à nouveau McDuffie qui enclenche le mode scoreur pour la JDA. L’ailier dijonnais en est alors à 13pts (sur 30) mais la JDA reste loin derrière. Après un nouveau bon run mené par le pivot Augusto Lima, Malaga mène encore 56-37 après 27min. C’était sans compter sur la force de caractère des bourguignons : le duo McDuffie – Hrovat ne lâche rien, bien aidé par Jacques Alingue et Robin Ducote. Après 30min, les dijonnais ne sont ainsi menés que par 13 unités (63-50). Cette domination des dijonnais dans ce Q3 va toucher les locaux dans leur orgueil. Emportés par un Tyler Kalinpski, les joueurs de Malaga remettront un coup d’accélérateur dans le dernier acte pour l’emporter, logiquement, après 40 minutes.

 

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