Les U18 Élite tombent à Bourg-en-Bresse

Après un week-end sans match officiel, les cadets France de Julien Marchand se déplaçaient ce dimanche à Bourg-en-Bresse.

Très bien entrée dans son match, l’équipe burgienne de Pierre Murtin créée rapidement des soucis aux dijonnais. Agressifs, les locaux font perdre beaucoup de ballons aux dijonnais qui subissent la pression. Après 10 minutes de jeu, la Jeanne n’est pas encore rentrée dans la partie et est alors logiquement menée 27 à 12. Si les hommes de Julien Marchand ne sont pas assez percutants en attaque, comme en défense, ils livrent 5 minutes de qualité avant la pause en réussissant des belles actions collectives avec des tirs qui rentrent. L’écart du premier quart-temps est toujours présent, mais il se stabilise (50-36).

Au retour des vestiaires, c’est une équipe au visage très différent qui se présente sur le parquet. En place défensivement, la Jeanne pause de réels problèmes à la JL Bourg qui ne parvient plus à trouver le chemin du cercle aussi souvent qu’en première mi-temps. La JDA Dijon en profite pour revenir dans la partie avec un jeu collectif en place et une adresse aux shoots retrouvée à l’image des 47 points du duo Radnic – Meunier. Dijon remporte la période 16 à 23 et revient alors à 7 longueurs (66-59). Malheureusement, cette débauche d’énergie et ce temps fort de nos jeunes joueurs ne concrétiseront pas un retournement de situation. La jeu remet la main sur le cuir pour finalement l’emporter 94 à 74.

Prochain rendez-vous face à la SIG de Strasbourg, dimanche 9 avril.

 

Réaction de Julien Marchand

Contre une équipe qui nous a battues déjà trois fois sèchement, on se devait d’envisager d’autres solutions. On voulait mettre beaucoup de rythme et d’agressivité en attaque. Quand on a respecté ces consignes, là, on a été efficace et on a pu s’opposer de manière intéressante à Bourg.

Quand on a baissé en intensité des deux côtés du terrain, on a pris l’eau.. et des grandes eaux ! On a eu des momentums intéressants et on a su passer de -20 à -2, mais sur l’ensemble, c’est bien notre adversaire qui a eu la main sur le match.