Les réactions après Paris-Levallois – Dijon

La SAS Perrin Robinetterie vous présente la conférence de presse du match Paris-Levallois – Dijon :

 

LAURENT LEGNAME

Dans notre situation, une victoire on la prend, surtout à l’extérieur. Je l’avais dit avant le match : on était là pour jouer à fond. Je suis vraiment très content, très heureux pour les joueurs car avant tout ce sont eux qui souffrent avec cette accumulation de défaites. Gagner un match avec la manière, ça fait du bien aux têtes ; j’espère que ça va inaugurer d’une deuxième partie de saison meilleure pour nous.

Brandon a été fidèle à ce que je pensais. C’est un garçon qui est actif, qui combat, qui n’a pas peur. Il participe au rebond, il a de bonnes petites mains. Dans un championnat de Pro A que l’on sait très athlétique je pense qu’il va nous faire du bien par rapport à nos manques au rebond.

 

MARC JUDITH

Aujourd’hui on prend tout ce qu’on peut prendre. Dans notre situation cette victoire est énorme. Il y a deux mois de ça on aurait dit que c’était un bon match, aujourd’hui c’est un exploit. Notre salut passera par la défense. Si défensivement on n’est pas tous ensemble, l’attaque ne va pas vraiment suivre. Ce soir je suis vraiment content car on les tient à moins de soixante-dix points. Gagner la bataille du rebond montre qu’avant c’était nous qui ne faisions pas les efforts. On doit être correct partout si on veut réussir à se maintenir, ne pas être nul quelque part. Si on veut exister en Pro A on peut être moins bon mais pas être nul.

Brandon ? Il est présent, il a mis des paniers. J’espère que ça ne sera pas qu’un match comme ça car nous on a besoin de joueurs réguliers, et je m’inclue dedans.

 

FREDERIC FAUTHOUX

On a eu un gros relâchement dans le troisième quart-temps comme on peut en avoir. Avant ça se faisait d’un match à un autre mais là ça s’est produit pendant le même match. On a manqué d’intensité, d’énergie. On a pourtant besoin de ça, surtout certains joueurs. Quand ils n’apportent pas ça ça devient compliqué. On sait où le bât blesse aujourd’hui ; à nous de le rectifier.

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